Interview - Jean-Michel Puybouffat

18 Mai 2012


M. Jean-Michel Puybouffat, de ROTEK, nous a accordé un bref entretien lors du WCNDT à Durban.

 

Jean-Michel Puybouffat

 

Que fait l’entreprise Rotek ?

Rotek est une société du groupe Eskom Industrie (producteur de courant en Afrique du Sud). Rotek s’occupe de l’entretien de toutes les machines tournantes (turbines, générateurs, etc.). Ses moyens industriels sont relativement similaires à Alstom Belfort.

 

Quel est votre rôle au sein de cette société ?

Je travaille dans le département des CND, pour l’inspection des machines. Et plus spécifiquement, je m’occupe du design des applications particulières (telles que celles concernant l'inspection de disques et des aubes de turbines).

 

Êtes-vous satisfait de participer au WCNDT à Durban ? Quelles sont vos attentes pour cette conférence ?

Oui, je suis content de participer à cette conférence. L’organisation est correcte, mais je suis un peu déçu de la présentation des matériels. L’offre est unitaire et ne présente pas beaucoup de variété.
On dirait que l’équipement a été copié, multiplié, et c’est partout la même chose... Sinon, pour le reste, c’est un bon congrès.

 

Quels sont les articles dont vous faites la promotion sur le congrès ?

Personnellement, je suis venu ici pour régler quelques petits problèmes techniques avec des fournisseurs, c’est le genre de chose plus facile à régler sur place. Je ne m’occupe pas du marketing de Rotek.

 

Depuis combien de temps connaissez-vous CIVA ?

Ca fait longtemps, mais je ne connais vraiment bien le logiciel que depuis 4 ou 5 ans. A l’origine, ce logiciel a été acheté par Rotek et personne ne s’en servait (il avait été acheté via Tecnatom), c’est comme ça que je me suis mis à l’utiliser.

 

Pour quelles sortes d’applications utilisez-vous CIVA ?

Essentiellement pour la conception de nouvelles méthodes d’inspection.

 

Selon vous, quels sont les avantages de ce logiciel ?

L’avantage essentiel est la simplification des problèmes traités. La modélisation facilite toutes les manipulations techniques, et évite de positionner des sondes dans tous les sens.
C’est un gain en matière de compréhension des problèmes.
Grâce à CIVA, nous pouvons résoudre des problèmes qui n’auraient jamais été traités.